Livre coup de coeur Le coin des adultes
Quand, par la force des choses, deux poilus deviennent amis. Blessés lors de la dernière offensive de la grande guerre, Albert et Edouard sont liés l’un à l’autre pour s’être sauvés mutuellement. Dans ce roman, l’auteur retrace leur vie après-guerre et leur projet de vengeance incroyable, contre des supérieurs qui les ont envoyés dans un faux combat, quelques jours avant l’armistice. Et plus l’histoire avance, entre morphine et usurpation d’identité, plus on brûle de savoir de quoi elle sera faite. {source} {/source}
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Livres Grand format Le coin des adultes
L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikéa, Romain Puértolas – Le dilettante – 2013, 256p. Ajatashatru est fakir depuis son plus jeune age et voilà qu’il se fait payer un voyage par tout son village pour aller acheter le dernier lit à clous à Ikéa. Mais à peine arrivé en France, par un coup du hasard, il se retrouve enfermé dans une armoire, en route vers l’Angleterre. Une aventure complètement loufoque et pleine de rebondissements qui derrière sa legerté apparente traite de thèmes de société comme l’immigration. Un voyage détonnant pour notre fakir, étonnant pour le lecteur, entre l’Inde, La France, l’Angleterre, l’Espagne, l’Italie et la Lybie. {source} |
Faber, Tristan Garcia – Gallimard – 2013, 480p. Dans une petite ville imaginaire de province, Faber, intelligence tourmentée par le refus de toute limite, ange déchu, incarne de façon troublante les rêves perdus d’une génération qui a eu 20 ans dans les années 2000, tentée en temps de crise par le démon de la radicalité. {source} |
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Le Divan de Staline, Jean-Michel Baltassat – Seuil – 2013, 312p. Alors que Staline se retire dans sa datcha en Georgie, il est rejoint par sa maitresse de longue date, la Vodieva, et Danilov, un jeune peintre prodige de l’URSS. Ce dernier doit réaliser une oeuvre d’art à la gloire du Petit Père des peuples. Un huis-clos où Staline s’essaye à la psychanalyse et où Danilov et le lecteur ne sont pas au bout de leurs surprises. {source}
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Les renards pâles, Yannick Haenel – Gallimard – 2013, 192p. Un homme choisit de vivre dans sa voiture. À travers d’étranges inscriptions qui apparaissent sur les murs de Paris, il presse l’annonce d’une révolution.
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La grâce des brigands, Véronique Ovaldé – L’Olivier – 2013, 288p. Quand Maria Cristina reçoit un appel téléphonique de sa mère, dont elle ne sait rien depuis des {source}
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La nostalgie heureuse, Amélie Nothomb –Albin Michel – 2013, 162p. Après Stupeur et tremblements et Ni d’Ève ni d’Adam, Amélie Nothomb nous propose ici son troisième roman sur le Japon. Suivi par les caméras de France 5 à l’occasion d’un reportage dans son pays d’adoption, l’auteur belge reverra celle qu’elle considéra, enfant, comme sa mère ainsi que son amour de jeunesse, Rinri. Un roman plein d’anecdotes !
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La confrérie des moines volants, Metin Arditi – Grasset et Fasquelle – 2013, 352p. En 1937, le régime soviétique ferme les Églises, tue les moines et va jusqu’à détruire les oeuvres religieuses, y compris des centaines de tableaux et d’icônes.
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Bandes dessinées
15+ Burlesque Girrrl, François Amoretti – Anakama – 2012, 56p. Un cocktail explosif de rock, de spectacles d’effeuillage et de voitures. En deux tomes, François Amoretti retrace les aventures d’une pin-up tatouée, Violette, qui alterne entre séances de photos pour une marque de sous-vêtements et concerts avec son groupe de rockabilly. {source}
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10+ Avant quand y avait pas l’école, Vincent Malone et André Bouchard – Seuil jeunesse – 2013, 44p. « Avant, quand y avait pas l’école, on collait des post-it partout, mais avec rien d’écrit dessus. » Un album plein d’humour et d’anachronismes à dévorer qui détourne l’école avec subtilité et se moque joyeusement de nos ancêtres préhistoriques. Pour les grands comme pour les petits ! {source}
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