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Le passage, Louis Sachar, Editions Ecole des loisirs, 2000, 280p. Quand Stanley Yelnats est accusé à tort du vol de basket, il prend son sort avec fatalité et part en centre de redressement. Fatalité car depuis des générations déjà la famille du jeune homme est poursuivie par une étrange malédiction et les membres de la famille semble tous poursuivis par la malchance… Envoyé dans le camp de redressement Camp du Lac Vert – qui n’a d’idyllique que son nom – Stanley découvre une vaste étendue de terre desséchée où la seule occupation des pensionnaires est de creuser un trou d’un mètre cinquante sur un mètre cinquante. Punition rébarbative mais qui cache un secret que seul l’étrange directeur détient. Mais que cherche le directeur et Mr Monsieur ? Un superbe roman d’amitié sur fond de secret de famille. Deux histoires nous sont racontées parallèlement, celle de Stanley et une autre, qui s’est déroulée un siècle plus tôt. Mais elles sont étrangement liées, on le découvre au fil d’indices habilement distillés au long du récit, jusqu’à la révélation finale.
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