En finir avec Eddy Bellegueule

Sélection février 2014 (2)

 

 En finir avec Eddy Bellegueule

En finir avec Eddy Bellegueule, éditions Seuil, janvier 2014, 224p.

« Eddy Bellegueule (c’est son vrai prénom) nous raconte comment dès son enfance, il a su presque malgré lui à sa manière de parler et de se comporter, qu’il aimait les hommes. Il nous livre sans pudeur ses diverses expériences avec ses copains, ses relations compliquées avec sa famille et ses essais (ou ses ratés) avec les filles. Um récit superbement écrit et très bien maitrisé. »

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No Sex 

No Sex, Tim Parks, éditions Acte Sud, janvier 2014, 272p.

« A la foi comique et poignant, rythmique et complètement envoutant, No Sex est un roman divertissant sur deux style de vies que tout oppose, et Beth –la narratrice- est attachante. Un grand roman : original , profond et captivant. »

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La ballade de Rikers Island

La ballade de Rikers Island, Regis Jauffert, éditions Seuil, janvier 2014, 432p.

« Après Edouard Stern et Josef Fritzl, c’est maintenant au tour de Dominique Strauss-Khan de passer sous la plume de Regis Jauffert. Il revisite l’affaire DSK, analyse l’accusé et le présente nu au lecteur, dépourvu de tout pouvoir. Ce roman dérangeant revient sur l’affaire qui a bascule la vie de ses acteurs de manière poignante et baroque. »

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 Automobile Club dEgypte

Automobile Club d’Egypte, Alaa El Aswany, éditions Acte Sud, janvier 2014, 544p.

« Dans un club huppé dont l’accès est strictement réservé aux étrangers et à quelques aristocrates locaux, un ancien valet de chambre du roi Farouk assure la fonction de majordome avec une sadique cruauté. À travers l’histoire mouvementée de ce club, l’auteur de L’Immeuble Yacoubian investit tout son talent de conteur pour explorer en profondeur les relations complexes entre dominants et dominés.»

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 Comment jai mangé mon estomac

Comment j’ai mangé mon estomac, Jacques A. Bertrand, éditions Julliard, janvier 2014, 112p.

« Sous la forme d’un récit poétique et léger, Jacques A. Bertrand retrace la chronique facétieuse de sa maladie. Avec un étonnant mélange d’humour, de flegme et de sagesse, il dépeint tous les aspects de son expérience – des plus absurdes aux plus douloureux – et atteint sans conteste le sommet de son art. »

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 Le village évanoui

Le village évanoui, Bernard Quiriny, éditions Flammarion, janvier 2014, 228p.

«Un beau jour le village de Châtillon-en-Bierre se retrouve completement isolé. Après le choc, les habitants doivent s’organiser pour survivre. Ce roman à la limite de la science fiction insite à la pensé sur le vivre ensemble et l’egoisme de notre societé. Bernard Quiriny radioscopie notre monde actuel avec énormément de talent est une belle reflection. »

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